Matinales – par Helder VINAGRE

Enfin, je respire ! La ville est là, presque encore endormie, sortant d’un sommeil relatif, tout engourdie de ses torpeurs nocturnes.
Je marche dans ses rues, je longe ses quais, je m’épanouis à l’observer, et elle me donne ces instants furtifs de poésie et de lumière.

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